Un quartet de musiciens pour revivre les plus grandes heures de l’histoire du jazz !
Une atmosphère chic et sophistiquée
Virginia Constantine – Chant
Fille du célèbre auteur-compositeur-interprète Jean Constantin, qui composa entre autre “Mon manège à moi” pour Édith Piaf, “Ma gigolette” pour Yves Montand et la musique du film “Les 400 coups” de François Truffaut, Virginia étudia le piano classique pendant 12 ans avant d’opter pour le chant et la composition. Son père lui transmit la passion du Jazz et dès l’âge de 16 ans, elle se produit dans les clubs parisiens, inspirée notamment par la légendaire Sarah Vaughan à qui elle voue une admiration sans bornes.
Suivront des tournées et enregistrements en tant que choriste avec Laurent Voulzy, Michel Sardou et Richard Gotainer avant de partir pour Londres où elle collabore avec différents compositeurs/producteurs.. Entre autre, elle co-signe et interprète 2 titres sur l’album The Jazz Club Volume 1 du Virtual Jazz Band et se produit en live. Remarquée par Keith Wozencroft qui découvrit le groupe Radiohead, elle se voit offrir un contrat avec EMI pour ses compositions originales…
En 2007, elle enregistre l’album de standards » The bumpy road to love « encore distribué sur le label internet ‘ CD Baby ’, entourée de prestigieux musiciens tels le saxophoniste Gary Barnacle (Jamiroquai, The Brand New Heavies), le bassiste John Mc Kenzie (Tina Turner, the Rolling Stones) et le légendaire guitariste de Jazz, Jim Mullen.
Côté français, elle a prété sa voix à l’album “ Complicity “ du JMH Jazz Trio avec qui elle a chanté au Sunside et au festival de Jazz de Saint Maur, en première partie de Manu Katché.
Elle s’est également produite au Petit Journal Montparnasse en septembre 2014.
Sa couleur vocale intimiste et sensuelle dans la lignée de Diana Krall ou Ricky Lee Jones, nous transporte au cœur de l’univers poétique de ces mélodies incontournables et indémodables, avec une émotion et une sincérité absolues…
Olivier Eynaud de Faÿ – Batterie
Batteur et compositeur niçois, il a joué dans de nombreuses formations Rock, Pop et Jazz depuis son installation à Paris en 1982. Il a accompagné beaucoup d’artistes de variété (Patrick Eudeline, Alexis Gruss, Patrick Topalof, Annie Girardot…) et se consacre plus particulièrement aujourd’hui au Jazz, dans lequel dit-il « tout peut être exprimé »…
Laurent Bonnot – Basse
De son village natif de Moulin-Engilbert, en région Bourgogne, à la capitale parisienne, ce fils d’accordéoniste a un parcours maturé de pratiques et de savoirs. Imprégné des musiques du folklore français, il apprend le violon à l’âge de 6 ans. Initié à la musique classique, il ouvre son horizon, diversifie sa pratique et choisit son 2nd instrument : la guitare.
Du baccalauréat de Musique à Nevers au diplôme du Conservatoire de Dijon, en passant par une licence de Musicologie, le jeune homme a soif de connaissances musicales ; il étudie les musiques latines à l’Issac et les techniques d’arrangement Big Band à l’Université. Déterminé, il s’installe à Paris pour y suivre les cursus Jazz du CIM puis du Centre Didier Lockwood.
C’est à l’âge de 25 ans qu’il se met à la guitare basse, qui deviendra dès lors son instrument de prédilection.
Cette quête d’apprentissage et de savoir-faire lui confère de solides bases qui lui permettent de jouer au gré de rencontres musicales, dans des styles très différents, tout en gardant une esthétique technique et sonore très personnelle. Du groupe Bonamia , avec lequel il a sillonné la France pendant près de 4 ans, à sa collaboration avec Laurent Damont et André Charlier, Laurent se définit comme étant avant tout un bassiste Jazz.
C’est dans ce registre qu’il sort son 1er album « The Time of Monsters » où il est accompagné par des musiciens de renom : Emmanuel Bex à l’orgue, Dave Liebman au Saxophone, Raphaëlle Atlan au chant. Un album révélant un éclectisme, tantôt Jazz puriste, tantôt Jazz Bossa, des notes de Blues, sous couvert de mélancolie. Une mélancolie doucereuse et surprenante, qui est à peine perceptible, si ce n’est en regardant la pochette du CD, où l’on peut voir son village natal. Des réminiscences de l’enfance, du son de l’orgue et de l’accordéon…
Un album à écouter !
Joran Cariou – Piano
« En préambule, Malo Mazurié, jeune trompettiste malouin et talent montant du jazz, a proposé une formation en quartet, accompagné d’excellents musiciens au jeu limpide, aux phrasés superbes, aux solos impressionnants. Le pianiste, Joran Cariou, a rythmé le concert d’improvisations presque dignes des plus grands. » Ouest France
Né en 1987 à Annecy, Joran se passionne pour la musique depuis l’enfance. C’est à l’âge de 15 ans qu’il se met au piano. Il rentrera un an plus tard au conservatoire à Annecy puis à Chambéry où il obtient son DEM jazz à l’unanimité. Il y suit les cours d’arrangement auprès de Pierre Drevet, de piano jazz avec Thierry Girault et Erwin Siffer, de composition, de musique à l’image.
La musique sera une école de la vie, une aventure humaine, faite de rencontres, de voyages, de découvertes, où la recherche de la connaissance de soi est permanente. Il en fera son crédo et choisit de suivre cette route.
La musique sera avant tout Il se perfectionne au Centre des Musiques Didier Lockwood auprès d’artistes de renommée nationale tels que Benoit Sourisse, André Charlier, Pierre de Bethmann, Bojan Z, Stephane Guillaume, Pierre Perchaud, Fred Hersh. Il continue avec l’apprentissage du piano classique.
Il joue sur la scène parisienne en tant que sideman auprès de nombreux projets et différents artistes tel que Natalia Doco, Benjamin Henocq, Pierrick Pedron, Stephane Belmondo, Gaël Horellou, Anthony Jambon, Malo Mazurié, Eva Slongo, Nicolas Charlier.